Lettre d'information | Décembre
Chers amis de l’Ordre de la Libération,
En introduction à cette lettre d’information de décembre, vous découvrirez notre carte de vœux dont l’illustration a pour but de rappeler que le message du général de Gaulle reste pertinent et qu’il s’adresse à notre jeunesse d’aujourd’hui comme à celle de 1940. Il s’agit toujours de préférer un destin choisi à un destin subi.
Et, plus que jamais, la volonté de notre Nation a besoin de se nourrir des valeurs portées au plus haut par les Compagnons et médaillés de la Résistance.
Puisse l’année 2020, « année de Gaulle », inspirer nos compatriotes et conduire à une cohésion nationale renouvelée dans une France apaisée et plus fraternelle.
Toute l’équipe de l’Ordre vous adresse ses vœux les plus chaleureux à l’occasion de la nouvelle année où nous resterons, comme à l’accoutumée, à votre écoute.
La rédaction
Noël de l'Ordre
Comme chaque année, l’équipe de l’Ordre de la Libération s’est réunie à l’occasion d’un goûter de Noël en présence d’Hubert Germain, Compagnon de la Libération, ainsi que des membres de la commission nationale de la médaille de la Résistance et des enfants du personnel.
Réunion de la commission nationale de la médaille de la Résistance française
Le 4 décembre dernier, le délégué national a présidé la commission nationale de la médaille de la Résistance française et a accueilli trois nouveaux membres médaillés, nommés par décret présidentiel en date du 13 mai 2019 : Michèle Agniel, Guy Jarry et Odile de Vasselot.
Au cours de cette réunion, de nouvelles demandes d’attribution de la médaille de la Résistance française à titre posthume ont été étudiées, et des propositions d'attribution vont être soumises au président de la République.
Diffusion de la quatrième vidéo de Nota Bene sur Youtube
"Le plus gros sous marin de la WW2 et les forces navales de la France Libre"
A l’aube de la guerre, la France dispose d’une flotte particulièrement sérieuse, qui, alliée à la célèbre Navy anglaise, ne laisse aucune chance à ses ennemis. L’une des raisons pour lesquelles l’Allemagne se gardera bien de risquer une flotte de surface contre pareille force, et préférera jouer la carte de la guerre sous-marine avec ses fameux U-boot ! Cet épisode fait le point sur les Forces navales françaises libres et sur la fameuse affaire de Mers el-Kébir.
Signature d'une convention avec la commune de Mâcon
Vendredi 13 décembre, en la mairie de Mâcon, le délégué national a signé une convention avec monsieur Jean-Patrick Courtois, maire de Mâcon (à droite sur la photo), en présence de monsieur Philippe Radal, président de l'association des amis du musée de l'Ordre de la Libération.
Cette convention permet aux scolaires de Mâcon d'être pris en charge gratuitement par le service de médiation du musée de l'Ordre. Ce type de convention lie déjà l'Ordre à plusieurs communes françaises.
Carte de vœux
Tract de la Résistance en forme de carte de vœux pour l’année 1944. La France bordée de feuilles de houx est frappée du « V » de la victoire.
13,9 x 8,9 cm, papier imprimé
Don de Pierre et Alain Rougeot.
N° d’inv. N3818
Interview de Lionel Dardenne par France Musique
Lionel Dardenne, commissaire de l’exposition "Le Chant des partisans, création et diffusion", a accordé une interview ( à partir d'1 minute 40 ) à Victor Tribot Laspière pour France Musique. Cette entrevue a fait l’objet d’un article publié le 2 décembre sur le site de la radio et a été diffusée le 3 décembre dans le cadre de l’émission Classique info.
Visite des demoiselles de la Légion d'honneur
Le 6 décembre, des élèves de 3e de la maison d’éducation de la Légion d’honneur, qui préparent le CNRD, ont visité le musée afin d’approfondir la thématique du concours. Le délégué national les a accueillies pour marquer les liens existants entre le premier et le deuxième ordre national français.
Soirée culturelle | Le carnet de Jacques Dognin
Retour en images sur la soirée culturelle du jeudi 12 décembre consacrée au carnet réalisé par le résistant Jacques Dognin (1922-2005) pendant sa déportation au camp de concentration de Buchenwald.
L'éducation nationale et le musée
Le monde enseignant et les scolaires sont des partenaires privilégiés des actions pédagogiques du musée.
C'est le cas notamment de l'académie de Paris.
Rachid Azzouz, vous êtes inspecteur académique – inspecteur pédagogique régional de l’Académie de Paris, mais également délégué académique à la mémoire, l'histoire et à la citoyenneté. Comment définiriez-vous les liens existants entre l’Académie de Paris et le musée de l’Ordre de la Libération ?
« Le musée de l'Ordre de la Libération est un partenaire essentiel et incontournable dans la mission qui est la mienne auprès du Recteur de l’académie de Paris.
En charge de la cérémonie commémorative du 18 juin 1940, le musée associe des élèves de l’académie à cet événement fort et intergénérationnel.
Le musée est partenaire du CNRD : il participe à la présentation du thème annuel devant les professeurs, propose un parcours de visite adapté au concours et participe aux délibérations du jury de l’académie de Paris.
A l'occasion du 75e anniversaire de la capitulation de l'Allemagne, le musée accueillera environ 30 classes de CM2 pour un travail pédagogique autour du 8 mai 1945. En lien avec les programmes scolaires, il s'agira de réfléchir sur l'engagement et d'incarner l'histoire grâce aux parcours de résistants et Compagnons. En parallèle de ce travail historique, les élèves prépareront un concert de chants de la Résistance, accompagnés par la musique des gardiens de la paix le 7 mai 2020 dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne. »
La commission nationale de la médaille de la Résistance française
La commission nationale de la médaille de la Résistance française accueille trois nouveaux membres :
Michèle Agniel, née le 11 juin 1926 à Paris.
Alors que sa famille soutient le général de Gaulle, elle entre en Résistance dès novembre 1940 en reproduisant et distribuant des tracts du mouvement « Ceux de la Résistance ». Le 15 septembre 1943, elle intègre le réseau d’évasion « Bourgogne », où elle est chargée de la récupération d’aviateurs alliés tombés en province. Michèle Agniel prend en charge leur hébergement dans sa famille et leur fournit de faux papiers. Elle agit sans relâche jusqu'en avril 1944 lorsque, dénoncée, elle est arrêtée avec toute sa famille. Michèle Agniel ne parle pas et est déportée au camp de concentration de Ravensbrück à 17 ans. Libérée par l’armée russe, elle rentre en France fin juin 1945.
Elle reçoit la médaille de la Résistance française par décret du 24 avril 1946.
Depuis les années 80, Michèle Agniel témoigne dans les collèges, les lycées, à Science-Po et intervient dans des colloques.
Guy Jarry, né le 30 avril 1926 à Paris.
Agé de 14 ans en 1940, élève au collège de La Flèche près du Mans, Guy Jarry n’accepte pas l’humiliation de l’occupation. Elevé dans une famille patriote, il voit ses deux frères aînés tenter de rejoindre l’Angleterre. Souhaitant agir lui aussi, mais trop jeune pour gagner Londres, il décide avec un ami de créer un groupe de Résistance dont les missions seront essentiellement de cacher des armes et faire du renseignement. A l’été 1943, il intègre le réseau « Hercule » Buckmaster et s’occupe de la récupération de parachutages d’armes et de leur transport.
Malheureusement, après l’arrestation d’un membre de son groupe qui avoue sous la torture, il est arrêté en même temps que son père et un de ses frères. Torturé longuement, il ne parle pas et est déporté au camp de Buchenwald en janvier 1944 puis, un mois plus tard, à Mauthausen. A bout de force, Guy Jarry, après avoir donné un bel exemple de courage et de patriotisme, est libéré par les Américains le 5 mai 1945.
Il reçoit la médaille de la Résistance française par décret du 24 avril 1946.
Rentré à La Flèche, il épouse Chantal Charbonnel elle-même membre de son groupe de Résistance puis apprend grâce à son beau-père le métier d’antiquaire, devenant expert des meubles, porcelaines et argenterie du XVIIIe siècle.
Odile de Vasselot, née le 6 janvier 1922 à Saumur (49).
Issue d’une famille de militaires, son père, qui a servi avec le colonel de Gaulle, est fait prisonnier lors de la campagne de France fin mai 1940. Partie vivre avec sa mère et ses sœurs chez ses grands-parents à Paris, elle ne supporte pas la présence allemande dans la capitale.
Souhaitant « faire quelque chose », elle est mise en relation par des amis avec le réseau de renseignements « Zéro » où elle effectue des liaisons entre Paris et Toulouse. Poursuivant son action malgré les arrestations, elle entre en contact avec le réseau d’évasion « Comète », qui vient en aide aux aviateurs alliés abattus. Odile s’occupe de les faire passer la frontière belge pour les ramener sur Paris.
Début 1944, ayant échappé de peu à l’arrestation, elle reprend contact avec « Zéro » pour lequel elle transporte à nouveau des courriers clandestins.
Elle réussit en août 1944 à franchir seule, et en pleine bataille, la ligne de feu pour assurer une liaison de la plus haute importance.
Elle reçoit la médaille de la Résistance française par décret du 15 octobre 1945.
Après-guerre, elle devient enseignante puis proviseur. Elle témoigne régulièrement de son engagement auprès des plus jeunes.
Retour sur l'année 2019
En 2019, l’AAMOL a poursuivi ses actions, tout d’abord en finançant l’impression du catalogue de l’exposition consacrée au Chant des Partisans, qu'elle a fait découvrir à ses adhérents lors d'une soirée spéciale.
Simultanément, elle a co-produit avec la Société des Amis du musée de la Légion d’honneur le magnifique ouvrage consacré aux décorations du Général de Gaulle : elle a bénéficié à cette occasion du mécénat très généreux du cabinet COHEN - AMIR ASLANI.
Tout au long de l’année, elle a su être vigilante aux opportunités offertes par le marché, en parfaite liaison avec la conservation du musée, et a pu à ce titre acquérir les médailles parlementaires et la croix de Compagnon de Christian Pineau, ainsi que le casque du général Cazaud, Compagnon de juin 1941.
Contribuant aux activités culturelles du musée, elle a organisé deux soirées dans le cadre des conférences, tout en suscitant des visites dans des lieux de mémoire. En octobre, elle a organisé un déplacement à Lille, dans la maison natale du général de Gaulle, enrichi par les conférences prononcées à cette occasion ( « la famille de Charles de Gaulle » par Mme Lefevre et « la jeunesse du général de Gaulle « par François Broche) .
L’année 2020, riche de commémorations, devrait permettre à nos adhérents d’effectuer un déplacement à Cracovie - Auschwitz, et de se rendre dans des lieux de mémoire dont le nouveau musée de la Libération de Paris - musée du général Leclerc - musée Jean Moulin.
L’AAMOL financera intégralement le catalogue de la grande exposition organisée sur le thème de l’engagement des premiers Compagnons de 1940, et organisera avec la chancellerie les événements liés à l’émission du timbre dédié au 80e anniversaire de l’Ordre de la Libération.
Deux conférences seront placées sous la responsabilité de l’AAMOL, avec les témoignages de deux enfants de Compagnons (Catherine de Sairigné et Vianney Bollier) et une intervention de Francois Broche.
De nombreuses autres opportunités seront offertes aux adhérents de l’AAMOL en cette année 2020, notamment des expositions au musée de l’Armée.
Retour sur le colloque du 21 octobre 2019 à Lyon
En introduisant le colloque organisé le 21 octobre à Lyon, le préfet du Rhône, préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, M.Pascal Mailhos, a déclaré :
« Nous avons rendez-vous aujourd’hui avec ce que la France a produit de meilleur, car c’est des Compagnons de la Libération que nous allons parler. […] Nous ne devons pas seulement aux Compagnons la Libération de notre pays. La victoire qu’ils ont portée n’est pas une simple victoire militaire. Nous leur devons bien plus : la sauvegarde de notre honneur. Car leur combat ne servait qu’une seule cause : la France. Non pas son territoire, mais sa destinée. Pour la France, ils ont tout mis de côté. Pour la France, ils ont tout sacrifié. Ils ont su incarner les valeurs de la République, qui tout à la fois nous nourrissent et nous dépassent.
De la liberté ils sont l’étendard invincible : une liberté totale, farouche, intrépide. Une liberté qui ne tolère pas la trahison. »
« De fraternité, enfin, leur destin est rempli ; le nom même de ‘’Compagnon’’ veut dire le lien qui les réunissait. Il y avait là, dans ce compagnonnage, dans cette camaraderie de destin, comme le disait André Malraux en récitant la Résistance, « l’accent invisible de la fraternité ».
« Pour la Libération de notre pays et pour la préservation de son honneur, chacun de ces 1038 hommes et femmes, des cinq communes et des 18 unités faits Compagnon mérite notre reconnaissance. Ils sont à l’image de la France, de ses valeurs et de sa diversité. J’aurais aimé que nous puissions les honorer tous.
« Il a toutefois fallu aujourd’hui ne retenir que quelques visages, quelques figures de ces glorieux combattants. Nous nous sommes concentrés, pour ce Colloque, sur les Compagnons de la Libération qui ont œuvré dans le Rhône – et je veux saluer et remercier l’Association des Familles de Compagnon de la Libération, qui a porté avec nous cette journée.
« Parce qu’il y a eu beaucoup de Compagnons à Lyon – qui était alors la capitale clandestine de la Résistance –, nous avons choisi de réduire notre focale, d’en sélectionner quelques-uns, connus ou moins connus. Il ne faut pas y voir un classement : l’ordre de la Libération a horreur des hiérarchies, puisqu’un seul titre, un seul grade le constitue. Ne l’oublions pas : on n’est jamais dernier, on est toujours premier quand on est Compagnon ».
Le préfet salue ensuite les historiens qui participent à ce colloque – parmi lesquels Christine Levisse-Touzé, Jean-François Muracciole, Raphaël Spina et Robert Belot – ainsi que les descendants de quatre Compagnons illustres venus témoigner : nos amis Gilles-Pierre Levy, Serge Devigny, Vianney Bollier et Antoine Armand. Puis il souligne l’actualité des Compagnons :
« Dans un monde bousculé par des défis nouveaux, et où l’on s’interroge sur le sens de l’engagement, ce temps d’histoire et de mémoire est je crois nécessaire. Je ne veux pas dire par là que les Compagnons seraient des modèles, ou des exemples – comme s’ils ne devaient servir que d’illustration. Ils ne sont pas non plus une règle de vie – comme s’ils souffraient l’exception. Car ils sont bien plutôt un repère, un cap, une boussole. Ce n’est pas dans leur parcours mais dans leur trajet qu’ils doivent nous inspirer. Les Compagnons de la Libération sont tout à la fois une promesse et un départ. Ils nous indiquent non pas le chemin, mais la façon de le suivre. »
Au terme d’une journée vouée à la grande histoire et au témoignage des Compagnons, M. Mailhos a rappelé que les Compagnons étaient moins des modèles ou des exemples que des boussoles, mais qu’il importait de « ne pas nous sentir écrasés sous le poids d’un appel à les imiter, mais plutôt de nous élever avec eux, de les comprendre, de nous en inspirer ». Il a mis en particulier l’accent sur le « souffle de fraternité » qui a uni les Compagnons dans leur combat :
« C’est de fraternité dont nous avons aussi besoin aujourd’hui, a-t-il ajouté. Mais, de la fraternité, nous oublions parfois jusqu’au nom. Charles Péguy la décrivait comme la « cousine pauvre de la République ». Pourtant, en 1848, elle était au centre de la devise républicaine. Elle réconciliait ainsi la liberté et l’égalité. Elles les gardaient de s’entrechoquer, de se contredire, voire de s’annuler. Notre Nation a beaucoup reçu des Compagnons. Tel est le sens de la fraternité : recevoir, et donner à son tour.
« Ce colloque nous incite donc à transmettre les valeurs qui animaient les Compagnons, ce partage, cette générosité, ce don de soi, jusqu’au sacrifice. La fraternité fait grandir un pays. Une Nation qui ne transmet pas ce qu’elle a reçu est vouée à mourir. La France fut petite lorsque, sous Vichy, elle fut mesquine et vengeresse. Pourtant, grâce aux Compagnons, la France de Pétain n’était déjà plus la France. Elle vivait dans le coeur des Compagnons, et c’est par eux que la France fut grande. Grande parce qu’elle partage. Grande parce qu’elle donne. Grande parce qu’elle se donne. »
Avant de proposer cette réflexion sur les enseignements de la mémoire :
« La mémoire n’est ni glorification, ni simple regard sur le passé : les Compagnons nous parlent de nous. Ils nous parlent d’aujourd’hui. Pour les jeunes générations, les Compagnons de la Libération sont une source d’engagement, de volonté, d’abnégation dans un combat toujours renouvelé pour une liberté jamais complétement acquise. Dans nos moments de découragement, dans nos instants de doute, il suffit de la lecture d’un ou deux parcours de Compagnons pour voir poindre un nouvel espoir. De ce colloque, en somme, nous ne repartirons pas seulement avec des connaissances nouvelles. Nous avons puisé à la source même des valeurs des Compagnons. Nous y avons redécouvert les racines de l’engagement. Nous y avons trouvé une flamme, une force et un élan. »
Ce colloque, qui s’est déroulé dans les magnifiques salons de la Préfecture du Rhône, restera comme un parfait exemple de coordination entre les historiens spécialistes de la France Libre et des Compagnons et les descendants des Compagnons, porteurs d’une mémoire qui demeure très vivante. Souhaitons qu’il fasse école dans d’autres départements !
Association nationale des pionniers du Vercors
Le 20 juillet 2018, le général de division (2s) Christian Baptiste, en déplacement à Vassieux-en-Vercors pour commémorer les combats du Vercors, signait une convention de partenariat avec Daniel Huillier, président de l’association nationale des Pionniers et combattants volontaires du maquis du Vercors, familles et amis (ANPCVMVFA). Cette convention a pour objet de recenser, d’étudier et de valoriser l’action en faveur de la libération de la France menée par les personnes physiques et morales médaillées de la Résistance française ayant un lien avec le maquis du Vercors.
Après un travail d’identification mené par Maurice Bleicher, président délégué de l’ANPCVMVFA en relation avec Lionel Boucher, secrétaire de la commission nationale de la médaille de la Résistance française, un recensement des médaillés de la Résistance française du Vercors a été effectué. Sur environ 4000 maquisards du Vercors, 426 ont reçu la médaille de la Résistance française dont 17 avec rosette, trois sont également Compagnon de la Libération : Eugène Chavant, Adrien Conus et Georges Jouneau.
Cette première étape de la mise en œuvre de cette convention ouvre la voie vers une coopération fructueuse entre l’Ordre de la Libération et les Pionniers du Vercors.
Retrouvez les évènements du mois de janvier et de févier ci-dessous :
20 janvier 2020
Diffusion de la 5e vidéo de Nota Bene intitulée : "Les pilotes de chasse du Normandie-Niemen".
23 janvier 2020
Conférence dédicace " Elles ont suivi de Gaulle. Histoire du Corps des Volontaires françaises " de Sébastien Albertelli, agrégé et docteur en histoire.
26 janvier 2020
Visite théâtralisée Les Compagnons saison 2 par la Compagnie Ankréation.
"Des femmes et des hommes d'exception" saison 2 Visite théâtralisée
Avec : Ambre Kuropatwa, Nicolas Dereatti et Xavier Depoix
Textes : Ambre Kuropatwa et Xavier Depoix
Costumes : Jérôme Ragon
Une production de la Compagnie Ankréation
Pour le musée de l'Ordre de la Libération
A la suite du succès des visites théâtralisées de l’année 2019, le musée a décidé de renouveler cette programmation en 2020 avec de nouveaux Compagnons et médaillés de la Résistance.
Laissez-vous conduire dans le musée par cinq grandes figures de la Seconde Guerre mondiale. Vous serez plongés dans la clandestinité de la Résistance intérieure et le poids du système concentrationnaire mais aussi dans l’aventure incroyable des combats en Afrique et de la libération de la France. Ces exemples de courage et de bravoure sont à découvrir en famille, à partir de 8 ans.
Gratuit sur réservation obligatoire
6 février 2020
Conférence-débat par Michel Deneken, Catherine Maurer et Francis Megerlin : "L'université de Strasbourg, une université médaillée de la Résistance française"